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Libérer l'initiation

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Il y a une différence entre un homme qui dérive et un homme qui construit.

De l'extérieur, ils peuvent se ressembler.

Tous deux se réveillent tôt.

Tous deux parlent avec fougue.

Tous deux revendiquent un objectif.

Mais il faut attendre quelques saisons...

L'un a une forteresse derrière lui.

L'autre a une tombe faite de bonnes intentions.

La frontière entre un roi et un conte de fées n'est pas tracée dans les moments épiques.

Il est gravé dans la répétition.

Les habitudes ne sont pas des routines.

Ce sont des rituels.

Les rituels vous consacrent ou vous enterrent.

I. Le mythe de l'homme spontané

La culture glorifie l'homme "inspiré".

Le créateur qui se réveille avec la foudre.

Le bâtisseur qui ne se déplace que lorsqu'il se sent prêt.

Cet homme est un mythe.

Ou pire - un esclave habillé de dopamine.

La vérité ?

L'âme masculine s'épanouit dans la structure.

Le roi ne se réveille pas avec des vibrations.

Il se réveille avec des ordres.

Sa matinée n'est pas une liste de choses à faire, c'est une cérémonie.

Sa salle de sport n'est pas une salle de fitness, mais une salle de forgeage d'armures.

Son journal n'est pas de la "santé mentale", c'est un ordre donné à son futur moi.

Et si vous ne créez pas vos propres rituels ?

Le monde vous nourrira de la sienne.

Défilement.

En-cas.

Simplification.

II. La litanie du bâtisseur

J'ai écrit un jour :

"La plupart des hommes n'échouent pas par manque de vision, mais par manque de répétition.

Vous pouvez avoir un plan divin.

Mais si vous ne construisez que les jours où vous en avez envie ?

Vous ne construisez pas.

Vous rêvez.

Un de mes anciens mentors Alpha m'a un jour mis en garde :

"Un homme sans infrastructure spirituelle devient une proie.

Pas seulement pour les femmes.

Mais à chaque murmure séduisant de faiblesse :

"Encore cinq minutes."

"Une session manquée n'aura pas d'importance".

"Je repartirai à zéro lundi."

Les rois reconnaissent cette voix.

Et ils la réduisent au silence avant qu'elle n'apprenne à parler.

III. Les trois autels du roi

Si vous voulez être souverain dans votre vie,

vous n'avez pas seulement besoin de discipline.

Vous avez besoin d'un espace rituel - un temple personnel du devenir.

Si un autel manque, c'est tout le royaume qui se fissure.

L'autel du corps

L'esthétique n'est pas nécessaire.

Vous avez besoin d'un commandement.

C'est votre trône en fer rouge.

Un corps faible laisse échapper de l'énergie.

Une personne forte porte le feu.

Vous ne pouvez pas diriger les hommes - ou vous diriger vous-même - si votre propre chair vous ignore.‍

L'autel de l'esprit

Lisez ce que les autres sautent.

Réfléchir plus profondément qu'ils ne l'osent.

Écrivez ce que vous ne comprenez pas encore tout à fait.

La souveraineté mentale se construit dans le silence

Pas dans des résumés de 60 secondes.

Pas en bobines.

Pas dans des citations régurgitées.

Vous voulez penser comme un roi ?

Entraînez votre cognition comme un forgeron.

L'autel de l'esprit

C'est celui que le système cache.

Parce que c'est celui qui vous rend mortel.

Que vous l'appeliez Dieu, l'Univers, la Source, l'Ether ou simplement le Vide du Néant.

vous devez vous agenouiller devant ce qui est au-dessus de vous,

ou vous ramperez sous ce qui est en dessous de vous.

Vous n'êtes pas votre désir.

Pas votre fatigue.

Pas votre peur.

Vous êtes l'homme qui commande les trois.

IV. Le sacré plutôt que le sexy

Soyons clairs :

La plupart des rituels vous ennuieront.

Il n'y aura pas de tendance.

Ils ne provoquent pas de pic de dopamine.

Ils n'impressionneront pas les filles.

Bon.

Le clown a soif d'applaudissements.

Le roi exige l'alignement.

Un homme démissionne après une semaine de journal :

"Cela n'a pas changé ma vie".

Un autre journalise pendant une décennie - et se rend compte qu'il a forgé un royaume à l'intérieur de son crâne.

Ce n'est pas de l'entraide.

C'est une architecture spirituelle.

Et vous le faites parce que vous avez prêté serment.

V. Le silence qui détruit

Maintenant, jouez à pile ou face.

Que se passe-t-il si vous ne ritualisez pas votre vie ?

Vous perdez votre avantage.

D'autres hommes avec des routines plus serrées commencent à vous lécher.

L'élan s'essouffle.

Fragment d'objectifs.

Et le pire, c'est que...

Vous cessez de vous faire confiance.

Et c'est là la vraie mort.

Pas d'échec.

Mais une trahison de soi chuchotée par sa propre voix.

"Je ne suis pas ce type."
"J'aurais dû commencer plus tôt."
"Peut-être que j'essaierai à nouveau le mois prochain..."

Personne ne l'entend à part vous.

Mais cela se voit.

Dans votre posture.

Dans votre travail.

Dans l'empire qui ne se lève jamais.

Dernières paroles

Un homme sans rituel est un homme qui se prépare à la guerre en pantoufles.

Et le monde ne sera pas tendre avec lui parce qu'il voulait bien faire.

Construisez donc vos autels.

Prêtez serment.

Se présenter lorsque personne n'applaudit.

Quelqu'un nous observe.

Pas une fille.

Pas les personnes qui vous suivent.

Vous.

La version de vous dans cinq ans.

Il vous remerciera ou non.

Ou vous hanter.

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